William Blake
"Out of Africa" Soundtrack
Enya "willows on water"
"He Mele No Lilo"-
dessin animé Lilo & Stitch
Et si l'on peut te prendre ce que tu possèdes, Qui peut te prendre ce que tu donnes ?
Antoine de Saint-Exupéry |
Faites attention à ce que vous voulez car vous l'aurez ! |
L'univers se met à chanter si tu le trouves magique.. |
L'amour
Tom Rey
|
Hier est
passé, |
QUI, sinon vous ? QUAND, sinon maintenant ?
Lorsque vous regardez derrière vous, vous ne pouvez pas voir ce qui se trouve juste devant vous.
|
Comment.. ?
Entre ce que je pense et ce que je veux dire ce que je crois dire ce que je dis ce que vous voulez entendre ce que vous entendez ce que vous croyez comprendre ce que vous voulez comprendre et ce que vous comprenez il y a au moins neuf possibilités de ne pas s'entendre..
Bernard Werber
(trouvé sur le blog du Père Cantoche) |
William Blake
Quand lui, quand moi.. Quand lui n'achève pas son travail, je me dis qu'il est paresseux. Quand moi je n'achève pas mon travail, c'est que je suis trop occupé, surchargé. Quand lui parle sur quelqu'un, c'est de la médisance. Quand moi je le fais, c'est de la critique constructive. Quand lui tient à son point de vue, c'est un entêté. Quand moi je tiens à mon point de vue, j'ai de la fermeté. Quand lui ne me parle pas, c'est un affront. Quand moi je ne lui parle pas, c'est un simple oubli. Quand lui prend beaucoup de temps à faire quelque chose, il est lent. Quand moi je prends beaucoup de temps à faire quelque chose, je suis soigneux. Quand lui est aimable, il doit avoir une idée derrière la tête. Quand moi je suis aimable, je suis vertueux. Quand lui voit deux aspects de la question, il et opportuniste. Quand moi je vois les deux aspects de la question, je suis large d'esprit. Quand lui est rapide pour faire quelque chose, il est négligé. Quand moi je suis rapide pour faire quelque chose, je suis habile. Quand lui fait quelque chose sans qu'on le lui dise, il ne se mêle pas de ses affaires. Quand je fais quelque chose sans qu'on me le dise, j'ai de l'initiative. Quand lui défend ses droits, c'est un mauvais esprit. Quand je défends mes droits, je montre du caractère. Oui, c'est bien étrange ... Pierre Descouvemont, Guide des difficultés de la vie quotidienne |
Badinerie - Rondo Veneziano
Daniel a écrit hier un article formidable, "nouveau job", qui m'a particulièrement touchée.. en voici juste le début :
je propose une nouvelle matière à enseigner dans nos écoles : la Paix. Une classe de Paix avec son "instituteur de Paix". Comptez ! Un instituteur par école, voire deux ou trois : du boulot pour quelques-uns, des chômeurs en moins, le "Pôle emploi" soulagé, des futurs hommes mieux renseignés sur les avantages de la Paix.[... la suite LA ] |
Il n’est pas facile de cerner, dans tous les tâtonnements et les errances d’une vie, les démarches clés qui permettent d’accéder au meilleur de soi Il n’est pas aisé d’entretenir vivace la sève du respect envers sa propre personne. Tout ceci est peut-être vrai, mais cela ne doit pas nous empêcher d’essayer. « J’aurais voulu être professeur de vie. J’aurais appris aux enfants, aux adultes aussi tout ce qui n’est pas écrit dans les livres. Je leur aurais appris les choses délicates et précieuses de la vie : qu’un amour entretenu ne s’use pas, que la seule liberté qui vaille la peine d’être vécue est la liberté d’être, qu’il est important de prendre le temps pour regarder la fuite ou l’ immobilité d’un nuage, pour suivre le vol d’un oiseau, qu’il est possible de se laisse surprendre par l’infini vivance des choses de la vie. J’aurais tenté de leur faire découvrir : qu’il est vital d’apprendre à s’aimer, à se respecter, à se définir, qu’il est encore plus important de ne pas se laisser enfermer par les jugements négatifs, de résister aux rumeurs, de ne pas se laisser polluer par les messages toxiques qui peuvent venir de ceux qui prétendent nous aimer ou mieux savoir pour nous. J’aurais semé en eux le goût de la curiosité pour ne pas se laisser entraîner par les idées toutes faites, par les modes ou de rester immobilisé par les conditionnements qui s’imposent insidieusement. J’aurais essayé de leur apprendre à remettre en cause leurs croyances quand elles sont devenues des certitudes terroristes, pour laisser plus de place à l’imprévisible de la vie ». Professeur de vie, quel beau métier à inventer. Jacques Salomé – N’oublie pas l’éternité – Albin Michel 2005 - |
Le pouvoir des mots Un orateur parle du pouvoir de la pensée positive et des mots. Comprenez-vous mieux le pouvoir des mots ?Un participant lève la main et dit : « Ce n’est pas parce que je vais dire bonheur, bonheur, bonheur ! que je vais me sentir mieux, ni parce que je dis malheur, malheur, malheur ! que je me sentirai moins bien : ce ne sont que des mots. Les mots sont en eux-mêmes sans pouvoir... » L’orateur répond : « Taisez-vous espèce d’idiot, vous êtes incapable de comprendre quoi que ce soit ! » Le participant est comme paralysé, il change de couleur et s’apprête à faire une répartie cinglante : « Vous, espèce de ... » L’orateur lève la main : « Je vous prie de m’excuser. Je ne voulais pas vous blesser. Je vous prie d’accepter mes excuses les plus humbles ». Le participant se calme. L’assemblée murmure, il y a des mouvements dans la salle. L’orateur reprend : « Vous avez la réponse à la question que vous vous posiez : quelques mots ont déclenché chez vous une grande colère. D’autres mots vous ont calmé. source : www.club-positif.com |
La graine ne peut pas savoir ce qui va se passer, la graine n’a jamais connu la fleur. Et la graine ne peut même pas croire qu’elle porte ce potentiel de devenir une fleur magnifique. Long est le voyage, et il est toujours plus rassurant de ne pas entreprendre ce voyage car le chemin est inconnu ; rien n'est garanti. Rien ne peut être garanti. Mille et un sont les hasards du voyage, nombreux sont les écueils et la graine est en sécurité, cachée dans une gangue dure. Pourtant la graine essaye, fait un effort ; elle lâche la sécurité de la gangue, elle commence à bouger. Immédiatement le combat s’engage : la bataille avec le sol, avec les pierres, avec les rocs. Or la graine était très résistante et la pousse sera très, très tendre et les dangers seront nombreux. Il n’y avait aucun danger pour la graine, la graine pouvait survivre des millénaires, mais pour la pousse, nombreux sont les dangers. Pourtant la pousse se dirige vers l’inconnu, vers le soleil, vers la source de la lumière, ne sachant où, ne sachant pourquoi. Lourde est la croix à porter, mais un rêve s’est emparé de la graine et la graine avance. Le chemin de l’homme est identique. Il est ardu. Beaucoup de courage sera nécessaire. Osho (cartes Zen) |
Commentaire : Cette carte montre une petite fleur sauvage qui a rencontré le défi de la roche et de la pierre sur son chemin pour émerger dans la lumière du jour. Entourée d’une brillante aura dorée, elle expose la majesté de sa petitesse. Sans honte, elle se montre l’égale du plus brillant soleil. Lorsque nous sommes confrontés à une situation difficile, nous avons le choix : soit nous pouvons être rancunier et essayer de trouver quelqu’un ou quelque chose à blâmer pour ces difficultés, soit nous pouvons faire face à ce défi et croître. La fleur nous montre la voie, sa passion pour la vie la mène des ténèbres à la lumière. Il ne sert à rien de se battre contre les défis de la vie, d’essayer de les éviter ou de les nier. Ils sont là et si la graine doit devenir une fleur nous devons traverser les épreuves. Soyez assez courageux pour devenir la fleur que vous êtes destiné à être. |
Un automobiliste arrive chez le garagiste et lui dit : - Je veux que vous changiez mon klaxon. Il faut qu'il sonne quatre à cinq fois plus fort. - Mais pourquoi voulez-vous un klaxon aussi bruyant ? - Parce que je n'ai plus de freins. |
Au fond, au lieu de régler le problème central, les gens cherchent à régler d'autres choses qui n'ont rien à voir. C'est ce que nous faisons généralement. Nous n'allons pas au coeur de nos difficultés pour les résoudre directement. |
La fantaisie est un perpétuel printemps. Schiller |
«La plus grande force de la nature est la douceur du vent qui souffle avant la tempête.» – Gayatri Devi Je remarque une tendance générale, depuis quelques temps: un mouvement de retour à la douceur, une sorte d’«assouplissement» – une ouverture du cœur. Il semble que le règne de la rigidité soit tranquillement en train de se terminer. (Yé!) Au fil des ans, on ne peut que se rendre à l’évidence: on n’avance pas plus vite à coups de pied. OK, je corrige: on avance définitivement plus vite à coups de pied… Mais jamais pour très longtemps. Et à quoi bon avancer rapidement, de tout façon, si c’est pour finir meurtri et épuisé? En ce beau mercredi, je vous invite à être doux comme le souffle du vent, fluide comme le ruisseau qui se réveille au printemps… Pas besoin de pousser ou de forcer; laissez émerger votre force intérieure naturellement. Sur ce, je vous souhaite une délicieuse journée! :-) Marie-Pier |