qui se multiplie
quand il se divise"
"Out of Africa" Soundtrack
Enya "willows on water"
"He Mele No Lilo"-
dessin animé Lilo & Stitch
Et si l'on peut te prendre ce que tu possèdes, Qui peut te prendre ce que tu donnes ?
Antoine de Saint-Exupéry |
Faites attention à ce que vous voulez car vous l'aurez ! |
L'univers se met à chanter si tu le trouves magique.. |
L'amour
Tom Rey
|
Hier est
passé, |
QUI, sinon vous ? QUAND, sinon maintenant ?
Lorsque vous regardez derrière vous, vous ne pouvez pas voir ce qui se trouve juste devant vous.
|
Comment.. ?
Entre ce que je pense et ce que je veux dire ce que je crois dire ce que je dis ce que vous voulez entendre ce que vous entendez ce que vous croyez comprendre ce que vous voulez comprendre et ce que vous comprenez il y a au moins neuf possibilités de ne pas s'entendre..
Bernard Werber
(trouvé sur le blog du Père Cantoche) |
"La vie est comme une bicyclette
si on n'avance pas on perd l'équilibre"
La coccinelle que nous piquions sur nos vêtements, il y a quelques temps, comme fétiche, a-t-elle une légende justifiant son appellation de Bête à Bon Dieu.
Au temps jadis, au Moyen Age, sans doute, un homme fût accusé d’un crime qu’il n’avait pas commis. Ses juges ne l’en condamnèrent pas moins à être décapité.
Au moment où le malheureux allait poser la tête sur le billot, il aperçut une coccinelle et, craignant de l’écraser, il la saisit délicatement pour l’éloigner de l’instrument de supplice. Les juges qui étaient présents virent ce geste. Ils se regardèrent avec étonnement et, d’un commun accord, décidèrent qu’un homme qui faisait preuve d’un cœur aussi sensible ne pouvait être un criminel.
L’innocent fût gracié séance tenante, et les spectateurs convaincus que le Très-Haut avait envoyé la bestiole pour sauver le condamné, donnèrent spontanément à l’insecte sauveur le nom de Bête à Bon Dieu.
L'Almanach du Familistère de 1927
article trouvé sur http://fvayeur.free.fr/lechodeschenaies.html
Un homme âgé dit à son petit-fils, venu le voir très en colère contre un ami qui s'était montré injuste envers lui : "Laisse-moi te raconter une histoire...
Il m'arrive aussi, parfois, de ressentir de la haine contre ceux qui se conduisent mal et n'en éprouvent aucun regret. Mais la haine t'épuise et ne blesse pas ton ennemi. C'est comme avaler du poison et désirer que ton ennemi en meure. J'ai souvent combattu ces sentiments" Il continua : "C'est comme si j'avais deux loups à l'intérieur de moi ; le premier est bon et ne me fait aucun tort. Il vit en harmonie avec tout ce qui l'entoure et ne s'offense pas lorsqu'il n'y a pas lieu de s'offenser. Il combat uniquement lorsque c'est juste de le faire, et il le fait de manière juste. Mais l'autre loup, ahhhh...! Il est plein de colère. La plus petite chose le précipite dans des accès de rage. Il se bat contre n'importe qui, tout le temps, sans raison. Il n'est pas capable de penser parce que sa colère et sa haine sont immenses. Il est désespérément en colère, et pourtant sa colère ne change rien. Il est parfois si difficile de vivre avec ces deux loups à l'intérieur de moi, parce que tous deux veulent dominer mon esprit."
Le garçon regarda attentivement son grand-père dans les yeux et demanda : " Lequel des deux loups l'emporte, grand-père ?" Le grand-père sourit et répondit doucement : "Celui que je nourris."
Un enfant demande à son père : « Dis papa, quel est le secret pour être heureux ?» Alors le père demande à son fils de le suivre ; Ils sortent de la maison, le père sur leur vieil âne et le fils suivant à pied. Et les gens du village de dire: « Mais quel mauvais père qui oblige ainsi son fils d'aller à pied !» «Tu as entendu mon fils ? Rentrons à la maison» dit le père. Le lendemain ils sortent de nouveau, le père ayant installé son fils sur l'âne et lui marchant à côté. Les gens du village dirent alors : « Quel fils indigne, qui ne respecte pas son vieux père et le laisse aller à pied !" « Tu as entendu mon fils ? Rentrons à la maison. » Le jour suivant, ils s'installent tous les deux sur l'âne avant de quitter la maison. Les villageois commentèrent en disant : « Ils ne respectent pas leur bête à la surcharger ainsi ! » « Tu as entendu mon fils ? Rentrons à la maison. » Le jour suivant, ils partirent en portant eux-mêmes leurs affaires, l'âne trottinant derrière eux. Cette fois les gens du village y trouvèrent encore à redire : «Voilà qu'ils portent eux-mêmes leurs bagages maintenant ! C'est le monde à l'envers !» «Tu as entendu mon fils ? Rentrons à la maison.» Arrivés à la maison, le père dit à son fils : «Tu me demandais l'autre jour le secret du bonheur :
Peu importe ce que tu fais, il y aura toujours quelqu'un pour y trouver à redire. Fais ce qui te plaît et tu seras heureux.»